Harry Potter et la chambre des secrêts

Publié le par Sophie Richard-Lanneyrie

Le 2ème tome d’Harry Potter marque une évolution dans le personnage de Harry Potter qui gagne en maturité et en découverte de la méchanceté de certaines personnes qui l’entoure. Privé de courrier pour son anniversaire, Harry a la chance de passer quelques jours dans « le Terrier » des Wesley, un endroit magique et de rêve pour lui où il se retrouve dans une vraie famille.

Dans le livre (et pas dans le film) on assiste à une altercation entre Lucius Malefoy, le père de Drago et Monsieur Wesley, le père de Ron : le premier prêche pour des sorciers pures races, le second œuvre, au Ministère, pour l’ouverture de l’école de sorciers aux moldus ayant des pouvoirs, qu’on appelle les « sang de bourbe » comme Hermione.

On découvre un nouveau personnage, Dobby, l’elfe de maison, au service des Malefoy, qui fait tout pour empêcher Harry de se rendre à Poudlard car il risque un grand malheur et qu’il veut lui sauver la vie. Mais Harry arrive tout de même à l’école, avec Ron, dans la voiture ensorcelée appartenant au père de Ron et ils atterrissent dans le saule cogneur, qui jouera un rôle important dans le tome 3.

C’est dans ce tome que Harry découvre qu’il parle fourchelangue, c’est-à-dire la langue des serpents.

Hermione montre ses talents pour préparer un polynectar destiné à les transformer en Crabe et Goyle, les deux acolytes de Drago afin d’obtenir de lui des informations.

La lutte dépasse le cadre de l’école. Elle devient politique et le ministère est de plus en plus présent avec ses luttes et ses rivalités et un Dumbledore qui surfe sur

Harry montre encore son courage en sauvant Ginny, la sœur de Ron d’une mort certaine aux prises avec Tom Elvis Jedusor qui n’est autre que l’esprit de Voldemort (anagramme du nom « je suis Voldemort ») qui cherche à redevenir un être humain.

Un deuxième tome qui s’assombrit donc par rapport au premier. Il montre la violence de la lutte entre le bien et le mal.

Le passage à retenir : un éloge de la loyauté : « Je voudrais te remercier. Tu m'as été vraiment fidèle, dans la Chambre des Secrets. Seule une parfaite loyauté de ta part pouvait amener Fumseck (mon phénix) à venir à ton secours. (…) et « Ce sont nos choix, Harry, qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes ». Dumbledor

 

Le 2ème film comme le 1er suit de très près également le livre. L’atmosphère générale est conservée. Les personnages prennent de la consistance. Le mystère se découvre peu à peu. Dans le même temps, l’esthétique du film devient plus angoissante, le mal approche et le film le fait bien ressentir.

Cela reste visible par un jeune public.

 

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